Dans l'entrepôt de Jean à Lyon, les étiquettes des pièces non standard sur les étagères sont comme un fouillis - la boîte étiquetée "plaque d'embrayage de tracteur" contient une roue de pompe à eau, le compartiment étiqueté "engrenage de semoir" contient trois tailles d'alésage de roulements différentes. La boîte étiquetée "plaque d'embrayage de tracteur" contient une roue de pompe à eau, et la grille étiquetée "engrenage de semoir" contient des roulements avec trois diamètres de trous différents. La semaine dernière, le client a eu un besoin urgent de "John Deere 904 tractor front axel bushings" et a trouvé trois heures avant de découvrir qu'il avait été envoyé par erreur dans la zone "harvester parts", ce qui a entraîné l'arrêt de la machine agricole du client pendant une journée, soit une perte directe de 8 000 euros. "2 000 types de pièces, au moins une pièce envoyée par erreur chaque jour, la recherche de pièces a duré en moyenne 40 minutes ! Il a donné un coup de pied dans les boîtes de pièces empilées dans l'allée, le système de gestion des stocks indique un "stock suffisant", mais le besoin réel de pièces sera toujours dans l'état "introuvable". Le fournisseur précédent l'a rassuré : "Les petites pièces non standard sont comme ça, il faut s'y habituer". Mais Jean savait au fond de lui que "s'habituer" était un suicide chronique - le client avait déjà menacé de changer de fournisseur.
À ce moment-là, un collègue rencontré au Salon du machinisme agricole m'a envoyé une photo : dans un entrepôt bien rangé, des robots AGV transportent des boîtes de pièces à travers les rayonnages, avec des codes QR attachés à chaque pièce. "Ils gèrent 5 000 types de pièces, avec un taux d'erreur de 0,1 % et 10 secondes pour trouver une pièce. Jean s'est immédiatement présenté à la porte avec un plan de l'entrepôt et une liste de pièces : "J'ai besoin d'une solution qui rende l'"inventaire système" égal à l'"inventaire réel".
Notre consultant en entrepôt, Li, est arrivé le jour même avec une solution d'entrepôt intelligente. Il montre le modèle d'entrepôt en 3D sur la tablette : "L'inventaire traditionnel repose sur la mémoire du cerveau humain, nous nous appuyons sur la double assurance 'code QR + AGV'". Il a sorti l'animation du processus : "chaque pièce entre dans l'entrepôt après avoir affiché un code bidimensionnel unique (comprenant les spécifications, le lot et l'emplacement) ; le robot AGV scanne le code et l'envoie automatiquement aux étagères correspondantes ; le système met à jour l'inventaire en temps réel ; à la sortie de l'entrepôt, le PDA scanne le code et vérifie qu'il n'y a pas d'incohérence avec l'alarme - par exemple, si vous voulez la douille, le système guidera l'AGV directement du "tracteur" à l'étagère, puis à l'étagère. AGV directement à partir de la "zone du pont avant du tracteur A3-05 espace de chargement" pour prendre les marchandises, sans recherche manuelle." Il ouvre le rapport de données : "Après qu'un réparateur de machines agricoles en France a utilisé ce système, le taux d'erreurs d'expédition est passé de 5 % à 0,1 %, et le taux de rotation des stocks a augmenté de 40 %." Jean a regardé l'écran, la démonstration "10 secondes pour localiser les pièces", et a soudain ressenti des sueurs froides sur le dos : "Si j'avais utilisé ce système, je n'aurais pas eu à perdre de l'argent auprès de mes clients le mois dernier".
Le jour de l'essai, Jean a demandé au magasinier de vérifier au hasard 20 types de pièces, et après que le robot AGV a reçu l'instruction, toutes les pièces ont été envoyées avec précision à l'entrepôt en 3 minutes, et il n'y a pas eu d'erreur dans la vérification du code. Les anciens clients les plus exigeants viennent visiter l'entreprise et prennent leur téléphone portable pour scanner le code QR des pièces : "Même le lot de production peut être vérifié, la gestion des pièces d'origine est également normalisée !"
Aujourd'hui, l'entrepôt de Jean a une plaque "Unité de démonstration d'entrepôt intelligent" accrochée à la porte, et 5000 types de pièces sont classés selon la classification tridimensionnelle "modèle-système-numéro de pièce", et le temps de recherche des pièces est passé de 40 minutes à 10 secondes. Il disait souvent aux autres réparateurs : "Ne laissez pas le stock de pièces ralentir votre service - si vous le gérez bien, le stock est de l'argent ; si vous ne le gérez pas, c'est de la ferraille". Pour nous, une gestion intelligente des stocks n'est pas une "frime", mais la clé pour aider nos clients à transformer leurs "entrepôts" en "centres de profit" - parce que nous savons que chaque réparateur a la capacité de gérer son stock de pièces en moins de temps. -Parce que nous savons que sur l'étagère de chaque réparateur se trouve l'attente du client pour une "réponse rapide" et le moyen pour une petite entreprise de survivre.
Pour en savoir plus sur nos solutions de gestion des stocks de pièces non standard :