La start-up parisienne Voltéa, spécialisée dans les véhicules électriques, a eu un souci récent : son nouveau SUV électrique devait gagner 50 km d’autonomie pour concurrencer les grands constructeurs. Mais le problème était simple : la carrosserie de moteur était trop lourde. Les procédés traditionnels (tôle, fonderie) ne permettaient pas de réduire le poids sans sacrifier la rigidité. Le responsable des achats, Antoine Leclerc, nous a confié : « On était bloqués. Nos designers avaient une idée, mais nos fournisseurs disaient ‘impossible’. »
Pour les entreprises auto françaises, la légereté est un enjeu de survie. Selon la CCFA (Conseil des Constructeurs Français d’Automobiles), chaque kilogramme en moins permet de gagner 0,5 km d’autonomie. Mais les procédés classiques ont deux limites :
• Les structures complexes sont inaccessibles : Les designers utilisent des logiciels d’optimisation topologique (comme SolidWorks) pour créer des pièces à la forme de “os” (avec des cavités pour réduire le poids), mais la tôle ou la fonderie ne peuvent pas reproduire ces détails.
• La précision est trop faible : Les pièces légères nécessitent des tolérances de ±0,02 mm pour éviter les vibrations ou les fuites. Mais la tôle, c’est souvent ±0,1 mm —ça suffit pas.
C’est alors que Voltéa a rencontré un fournisseur d’usinage CNC à 5 axes. Le résultat ? Une carrosserie de moteur qui a révolutionné leur projet.
Les machines CNC à 5 axes permettent d'usiner des pièces avec des surfaces courbes ou des cavités sans nécessiter de montages multiples. Pour la carrosserie de Voltéa, les designers ont retiré 60% du matériau superflu grâce à l’optimisation topologique. L’usinage CNC a transformé un bloc d’alliage d’aluminium de 10 kg en une pièce de 4.5 kg—sans perte derigidité.
L’usinage CNC contrôle les tolérances à ±0.01mm, bien mieux que la tôle (±0.1mm). Pour Voltéa, ça a résolu un problème majeur : les vibrations du moteur. Avec un carrosserie ultra-précis, le moteur s’assemble parfaitement, et le bruit a disparu.
La tôle génère des déchets massifs (jusqu’à 50% du matériau). L’usinage CNC, c’est du “traitement par soustraction” : on enlève seulement ce qui est nécessaire. Pour Voltéa, le taux de rendement du matériau est passé de 50% à 80%—ça représente des économies de 15 € par pièce.
Grâce à la carrosserie légère, l’autonomie de l’SUV de Voltéa est passée de 500 à 560 km. Et ça, ça a attiré l’attention d’Europcar, le leader de la location de véhicules en France. Le groupe a commandé 1000 exemplaires du SUV—un contrat de €cinq millions qui asécuriséla survie de la start-up.
Antoine Leclerc, le responsable achats de Voltéa, nous dit : « On pensait que la légèreté était un rêve. Mais l’usinage CNC a fait de ça une réalité. Maintenant, nos designers peuvent imaginer des pièces plus audacieuses—sans craindre les “impossible”. »
Si votre entreprise de pièces auto veut gagner en légèreté, il faut commencer par ces trois points :
• Votre design est-il optimisé ? Utilisez des outils d’optimisation topologique pour retirer les matériaux inutiles.
• Les procédés traditionnels suffisent-ils ? Si votre pièce a des formes complexes ou des tolérances serrées, l’usinage CNC est la solution.
• Votre fournisseur a-t-il des machines à 5 axes ? C’est la clé pour usiner des pièces précises et légères.
Pour les fabricants français de pièces automobiles, l'allègement n'est plus un simple atout — c'est une nécessité. Les procédés traditionnels peinent à répondre aux exigences du secteur électrique. Usinage CNC, avec sa précision, sa flexibilité et sa rentabilité, s'impose donc comme le partenaire idéal pour renforcer la compétitivité.
Si vous aussi vous demandez comment rendre vos pièces plus légères sans sacrifier la qualité, n’hésitez pas à nous contacter sur www.simituo.com. Notre équipe d’experts en usinage CNC peut vous aider à transformer vos projets en réalité—et peut-être, comme Voltéa, à gagner des contrats décisifs.
Car dans le monde de l’auto électrique, “léger” ça veut dire “rapide”… et “leader”.